Les anciennes tailles, l’évolution de la taille du diamant | FR

Clivage était une partie importante de la taille des diamants déjà au 16ème siècle, c’était la période de la préparation des diamants pour la taille des roses, des carrés, des losanges et des baguettes, très à la mode à cette époque. La mode de la bijouterie de l'époque était inspirée par une sorte de mosaïque, également utilisé pour les accessoires liturgiques qui furent faits dans ce genre d'orfèvrerie artisanal. Ce fut aussi la période de double coupe de rose et la taille briolette. En 1772, un bel exemple est la couronne de Louis 15, avec le Grand Sancy, entourée de 6 roses triplet représentant la fleur de lys. Aujourd'hui, vous pouvez l’admirer au musée du Louvre à Paris. Un autre bel exemple, également à la mode, est Saint Michel et le dragon et la fleur de lys symbole de la virginité et de la fertilité au 16 siècle, le tout avec des roses. Ajoutons les monogrammes utilisant des baguettes et des carrés.
 
En cette période des chevaux ont été utilisés pour faire tourner les disques de polissage. Vers 1880 la force hydraulique eu plus de succès, en Allemagne, à Idar-Oberstein et à Saint-Claude dans le Jura français, aussi utilisé pour la taille des autres pierres précieuses. Ces deux systèmes donnent la possibilité de faire tourner plusieurs disques de taille dans de petites ateliers. Le 17e et 18e siècle était la période de gloire pour la rose, la double taille en rose et la taille Peruzzi. Vicenzo Peruzzi a été le créateur de la première forme ronde ou brillant au 17ème siècle. C’est aussi la période de la rose Anversoise, d’Amsterdam et la rose simple, mieux connu comme 6 faces, 3 faces, et la rose pleine. La taille Mazarin était un mixte de taille brillant et carré très à la mode au 18ème siècle où pour la première fois, les femmes étaient permises de tailler des diamants, car elles avaient la manipulation "délicate" pour la taille des petites pierres de 3 à 6 faces. Mais nous pensons aussi, parce que les salaires étaient moins chers. Le Shah qui a été gravé sur les quatre faces avec le nom du propriétaire et la date de l'acquisition (musulmane) reste une énigme jusqu'à présent. Il n'y a pas de commentaires ou de littérature concernant la façon comment cela a été obtenu. Mais aussi des pierres telles que la briolette ont été forées. La seule façon à dut être une aiguille de cuivre avec de la poudre de diamant et beaucoup de patience, au moins plusieurs mois.
 
La révolution la plus importante a été l'invention de la machine à vapeur par James Watt en Ecosse. Ce ne fut pas seulement une révolution technique, mais aussi une révolution sociale. A partir de ce moment-là, les tailleries donnent du travail à des centaines de personnes par usine. C’était aussi le début des syndicats d’ouvriers diamantaires. D’importantes tailleries à vapeur s’installent à Anvers, Amsterdam et Paris.
 
Mais en 1908, commence l'électrification d'Anvers et l’arrière-pays "de Kempen" et plus tard aussi à Bruges, jusqu'à Dixmude. Electricité donner la possibilité de construire de plus petites usines de taille et même des moulins individuels. Des petites familles d'agriculteurs commencent à tailler le diamant pendant la période de l'hiver et plus tard toute l'année.
 
Mais il y avait toujours un gros problème avec la taille brillant, la perte de poids. La table doit être taillée sur la pointe de l'octaèdre, ce qui entraine une perte de poids importante, ceci est la raison des petites tables dans la taille ancienne. Aussi la Colette était « ouverte », une petite facette est taillée pour protéger la pointe. Nous pouvons trouver le « old european cut » dans les bijoux anciens montée en or ou en argent, tels que les cœurs de Flandre, les diamants sont sertis dans l’argent à l'avant et l’on dépose une couche d’or à l’arrière pour protéger les vêtements somptueux de l'époque.